Tawakkol Karman was awarded the Nobel Peace Prize in 2011, in recognition for her non-violent struggle for democracy and her advocacy for women’s rights in Yemen.

Karman has been imprisoned on a number of occasions for her pro-democracy, pro-human rights protests. Amongst Yemen’s Youth movement, she is known as “mother of the revolution”, “the iron woman”, and the Lady of the Arab Spring.

She is a human rights activist, journalist, politician, the Founder of Women Journalists Without Chains, Tawakkol Karman Foundation and Peaceful Youth Revolution Council. TIME Magazine described her as a 'Torchbearer of the Arab Spring' and named her both one of the 100 most influential women defining the last century and one of the Most Rebellious Women in History.

She was member of the High-Level Panel of eminent persons on the Post-2015 Development Agenda. She is now board member of the Facebook oversight board, and Nobel Women initiative. She holds a master's degree in global security from UMass Lowell University.

Tawakkol Karman a reçu le prix Nobel de la paix en 2011, en reconnaissance de sa lutte non violente pour la démocratie et de son plaidoyer en faveur des droits des femmes au Yémen.

Karman a été emprisonnée à plusieurs reprises pour ses manifestations en faveur de la démocratie et des droits humains. Au sein du mouvement de jeunesse yéménite, elle est surnommée « la mère de la révolution », « la femme de fer » et la Dame du printemps arabe.

Elle est militante des droits humains, journaliste, politicienne, fondatrice de Women Journalists Without Chains, de la Fondation Tawakkol Karman et du Peaceful Youth Revolution Council. Le magazine TIME l'a décrite comme la « porteuse du flambeau du printemps arabe » et l'a désignée à la fois comme l'une des 100 femmes les plus influentes du siècle dernier et comme l'une des femmes les plus rebelles de l'histoire.

Elle a été membre du panel de haut niveau composé de personnalités éminentes sur le programme de développement pour l'après-2015. Elle est aujourd'hui membre du conseil de surveillance de Facebook et de l'initiative Nobel Women. Elle est titulaire d'un master en sécurité mondiale de l'université UMass Lowell.